Cette seconde version de la série Je ne connais pas l’Afrique voit la couleur disparaître au profit de toute une gamme de gris, qui souligne davantage encore l’abstraction d’implantations aéroportuaires indifférentes à leurs contextes et à leurs sols. L’atténuation du contraste entre les différents gris et le blanc des gaufrages renforce ce caractère abstrait. L’assemblage des plaques déjà gravées en fonction de rimes graphiques et le remaniement des frontières géographiques ou des limites d’emprise également.